Le CNER a réuni, en visioconférence, les professeurs et chercheurs universitaires du milieu du développement économique ou de l’attractivité territoriale. Voici ceux qui ont répondu présents à cette réunion :

  • Nicolas Buclet, professeur des Universités à l’Institut d’Urbanisme de Grenoble – UPMF ;
  • Denis Carré, chercheur associé à EconomiX, Université Paris Nanterre ;
  • Olivier Coussi,  maître de Conférences en Management Territorial à l’Institut d’Administration des Entreprises de l’Université de Poitiers;
  • Thimothée Duverger, ingénieur de recherche à Sciences Po Bordeaux et chercheur au Centre Émile Durkheim ;
  • Michel Grossetti, sociologue français, directeur de recherche au CNRS et directeur d’études à l’EHESS ;
  • Nadine Levratto, économiste, directrice de recherche au CNRS. Economiste, directrice de recherche au CNRS ;
  • Fabien Nadou, professeur associé en développement territorial et d’économie régionale.

Mathieu Dejouy, délégué général, a présenté rapidement le CNER et ses enjeux. Cindy Emond, responsable études, publications et contenus éditoriaux, a présenté les sujets qui seront abordés par le CNER en 2025 :

  • Étude sur les nouveaux facteurs d’attractivité, du point de vue des professionnels, en collaboration avec Lise Bourdeau-Lepage ;
  • Note sur l’intelligence artificielle appliquée au développement économique ;
  • Dossier annuel sur les bonnes pratiques pour l’innovation territoriale ;
  • Baromètre de l’investissement endogène porté par les agences ;
  • Réédition et mise à jour de l’ouvrage sur l’intelligence économique.

Les discussions et débats qui ont suivis ont été d’une grande richesse pour le CNER et ont tourné autour :

  • Du concept même d’attractivité, d’accueil / hospitalité, en prenant en compte les réalités spécifiques des territoires ;
  • De l’importance de repenser les dynamiques territoriales en intégrant les transitions écologiques, sociales et économiques ;
  • Du besoin d’une montée en compétences des développeurs économiques, notamment en économie ;
  • Des contraintes, comme le Zéro Artificialisation Nette (ZAN), à voir plutôt comme un levier pour l’innovation et la densification industrielle ;
  • Du rôle du CNER, comme acteur de prospective capable de rassembler différents acteurs pour des réflexions globales et transversales.